J'aime manger, j'adore manger en fait, le chocolat surtout à la fraise avec de la chantilly, c'est le pied. Je n'aime pas le thé contrairement à la plupart des Anglais, généralement on me regarde de travers quand je l'avoue- Je suis très bordélique et perds souvent mes affaires- J'ai souvent besoin de bouger, je n'aime pas rester sans rien faire, je ne suis pas hyperactive, mais rester assise sur une chaise m'ennuie- Je m'intéresse à ce qui se passe dans le monde et pas seulement en Angleterre, j'adore les autres cultures- J'aime marcher plutôt que d'utiliser des transports magiques, quand je ne peux pas faire autrement évidement je transplane, mais sinon je préfère utiliser mes pieds.- J'ai une grande babelle quand je m'y met et il est souvent dur de me faire taire quand j'ai quelque chose à dire- Il m'arrive souvent de faire des grimaces quand je ne suis pas d'accord avec ce qu'on me dit.-


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que pensez-vous de la valeur du sang ? C'est stupide, on est sorcier à partir du moment où l'on est choisi, le sang ne devrait pas être si important. Il ne devrait pas y avoir de différences, être né moldu ne change pas le fait qu'on soit sorcier et être de sang-pur ne devrait pas laisser croire à certains qu'ils sont supérieurs.

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Comme c'est étrange d'être si près du château et si loin en même temps, de pré au lard je le vois par moment,il est toujours aussi splendide. Quand je regarde derrière-moi je me sens triste parfois, j'ai l'impression de ne pas avoir fait énormément de chemin et d'avoir échouée aux points les plus importants de ma vie cependant je devrais m'estimer heureuse, d'autres ont moins de choses que moi, mais je ne peux pas m'empêcher d'être égoïste et de me dire que j'aurais du réussir, j'aurais du en avoir encore plus. Je n'ai pas un travail brillant, loin de là, mais au moins je travaille et je gagne ma vie comme on dit. Je m'occupe, rester à Londres m'aurait été insupportable, c'est ici que j'aime être et pas avec mes parents, ils m'ont trop couvée et ont eu tellement de mal à me supporter ces dernières années qu'il est préférable que je mette une distance entre ma famille et moi, même si je les adores. Je me suis toujours considérée comme sorcière, malgré que je sois née-moldue. Ma place est là avec les autres sorciers et pas avec mes parents qui rêveraient que je devienne actrice, ou chanteuse, bref eux rêvent que je devienne connue, mais je suis très bien là inconnue et avec des pouvoirs, ma baguette à la main. Tant pis si ça les effraie un peu. Ils ont toujours eu peur de leur ombre de toute manière. Je ne suis plus rien sans ma baguette et je n'aime pas ne pas l'avoir dans les mains, c'est comme si sans elle je ne savais rien faire. Je ne me suis jamais sentie comme une moldue, j'aime le monde dans lequel je vis.


Je suis née en Angleterre, mon père et ma mère m'ont eue très jeune et étaient très heureux d'avoir une fille. Évidement lorsque j'étais enfant je ne me doutais pas que j'étais une sorcière et eux n'avaient jamais entendus parler de magie, ils pensaient comme tous les autres moldus que ça n'était que des illusions, des songes, des choses impossibles. Il se passait des choses étranges autour de moi, très étrange même, mais je croyais simplement que c'était parce que je criais que les choses se cassaient et que ça faisait ça à tout le monde et j'ai souvent crié parce que j'étais une gamine capricieuse, une vraie petite princesse. J'aimais faire tourner en bourrique mes parents. Ils ont eu la force de me supporter jusqu'à ce que j'ai onze ans, pour eu le fait que je sois envoyée à Poudlard fut une libération et pour moi ça a été au départ un coup de traître. En grandissant j,'ai compris que j'adorais être une sorcière, j'adorais la magie et surtout les sortilèges. Je me souviendrais toujours de la fois où j'ai acheté ma baguette, j'ai la chance d'avoir des parents assez riche, ce qui fait que je n'ai eu aucun mal à me la procurer et pour la choisir il m'a fallu essayer une bonne dizaine de baguette, le magasin était un peu sans dessus dessous. Une fois que j'ai eu ma baguette j'ai senti que je la garderais un très long moment et c'est sans doute la chose la plus précieuse que j'ai.

J'ai été admise à poufsouffle, au début je détestais ma maison, je trouvais qu'on m'y avait mise parce que je ne correspondait pas aux critères des autres maisons, mais finalement j'ai fini par l'aimer. Je n'étais pas tout à fait le genre d'élève qui se laisse faire, non bien au contraire, je rentrais dans le tas et on m'a souvent entendue râler ou donner mon avis. Je m'amusais souvent aussi à lancer des sortilèges aux gens que je n'aimais pas, ça m'amusais et je trouvais ça jubilatoire d'avoir un certain contrôle sur eux évidement j,'ai eu pas mal de soucis à cause de ça, surtout des retenues en fait, j'étais abonné, mais ça ne m'empêchait pas de continuer. Concernant ma vie sociale à vrai dire soit ça passait, soit ça cassait. J'aimais surtout m'amuser et je ne pensais pas vraiment aux études, même si j'arrivais à suivre les cours et à avoir des notes acceptables, pas faramineuses, mais assez correctes pour passer mes Buse et mes Aspic d'ailleurs je révisais toujours à la dernière minute et arrivait à retenir tout ce que j'avais écrit sans trop de mal. J'ai eu quelques histoires d'amour sans importances, je suis du genre à attendre le grand amour.

Je n'ai jamais eu de grandes ambitions, enfin je n'ai jamais dit à personne ce que je voulais faire, ayant toujours peur de passer pour une nulle et qu'on me dise au final que je n'y arriverais pas, je voulais leur montrer que je saurais être à la hauteur, les impressionner. Je voulais surtout devenir membre de la brigade des tireurs d'élites à la baguette, mais j'ai échoué à la formation et depuis je refuse catégoriquement qu'on m'en parle, refusant mon echec. Je me suis alors réfugié ici et je suis vendeuse à l'animalerie magique, ça ne me passionne pas beaucoup, mais je suis occupée pendant ce temps-là, je retenterais bien l'an prochain, le monde à besoin de ce genre de personnes, après tout la menace rôde toujours et rien n'est plus sûr. Est-ce que tout ça me fait peur? Oui forcément qui n'aurait pas peur à part le peu de mangemort qui restent ? Je suis terrifiée, mais ce n'est pas en étant terrifiés qu'on fera avancer les choses, alors j'essaie de ne pas penser à tout ça, la vie continue. Je ne choisi aucun camp, pour l'instant. Je n'ai pas de raison pour être impliquée là-dedans, bien que je défendrai bien sûr les nés-moldus et les moldus, sans doute que lorsqu'il le faudra je serais du genre aider les gentils, malgré certains de mes penchants, mais pour le moment je préfère rester dans mon coin et être neutre. La vie continue même avec ces mages noirs encore en course. Ce n'est pas de mon devoir de les combattre.