bonjouuuur  

Age de votre personnage : vingt-cinq ans.
Capacité/don souhaité(e) : animagus, hermine.
Comment votre personnage le vit-il ? ton père a toujours été un animagus, ou en tout cas depuis aussi loin que tu te souviennes, il a toujours volé au dessus de son berceau. depuis que tu es née, il ne cesse de t'impressionner avec son don. en effet, il a appris vers l'age de vingt ans à se transformer en faucon. jamais tu n'aurais pu imaginer y arriver, pourtant c'est comme si les nott avaient un don particulier pour la métamorphose. c'est naturellement que théodore t'a donc appris à travailler sur toi-même pour devenir un animagus à ton tour. de toute manière, tu t'es toujours plus entendue avec lui qu'avec ta mère, qui a toujours semblé préféré ton frère aîné. on peut dire que cette capacité n'a fait que grandir le mur qui existait déjà entre vous. il t'a fallu cinq ans de dur labeur, dès tes études bouclées, pour réussir à te transformer pour la première fois. on ne choisit pas l'animal qui nous est destiné. un museau allongé, une jolie fourrure de neige durant l'hiver, à l'instar de tes cheveux. elle était faite pour toi, l'hermine. aujourd'hui, après deux ans supplémentaires, tu as réussi à perfectionner ton don jusqu'à te transformer en quelques secondes seulement. peu de sorciers savent quel talent tu as, mais n'est-ce pas la spécificité des langues de plomb : le mystère ? tu as tout de même tenu à te faire recenser auprès du ministère. ayant toujours été de nature rusée, nature qui t'a d'ailleurs amenée à serpentard, tu penses que ton statut te permet d'être une espionne sans paire dans l'ordre. tu as rejoint ces derniers ils y a quelques années, t'insurgeant ainsi contre les idéaux de tes grands-parents, sans pour autant leur révéler. ainsi, ton don d'animagus ne peut que les aider à surveiller les mangemorts sans qu'ils ne te remarquent. depuis que tu as acquis cette capacité, tu as tout de même remarqué une agilité accrue, te permettant de ne plus chuter comme tu avais l'habitude de le faire naguère.

voila ce que j'ai pondu, mais au pire ce n'est pas grave, je pense que j'arriverai à faire quelque chose sans ce don, mais j'avais envie de tenter puisque ça expliquerait le mur qui se serait définitivement dressé entre sa mère et elle. de plus, je l'imagine bien comme "éclaireuse" dans l'ordre, plutôt qu'en combattante tête brûlée  j'espère que ça ira, auquel cas je m'arrangerai pour changer de personnage 

Age de votre personnage : vingt-neuf ans.
Capacité/don souhaité(e) : sang de vélane.
Comment votre personnage le vit-il ? Louis est un petit miracle dans le milieu des vélanes puisqu'il est le premier garçon à posséder ce sang si particulier. Il attire régulièrement les regards puisqu'il charme son entourage sans le vouloir et ce depuis sa naissance. Ses cheveux blonds-roux et son sourire accentuent d'autant plus l'aura de charme qui semble l’entourer lorsqu'il entre dans une pièce. Pourtant, le jeune Weasley n'apprécie pas vraiment d'être la cible de tous les regards. A Poudlard, Louis était un jeune homme solitaire et indépendant qui adorait passer son temps dans la bibliothèque, au calme, pour éviter de charmer accidentellement un élève quelconque. D’ailleurs, il détestait la période de noël qui était une source d'angoisse pour lui parce qu'il ne savait jamais si les filles voulaient vraiment sortir avec lui ou si elles étaient simplement charmées par son côté vélane. Si le jeune homme n'est pas toujours heureux de posséder ce talent, il lui arrive de l'utiliser lorsque la situation l'exige. Il contourne bien souvent les contrôles des Mangemorts en les charmant et il parvient parfois à obtenir certaines informations confidentielles pour aider l'ordre. De plus, son pouvoir est utile pour consolider ses relations avec des personnalités connues dans le monde magique, aussi bien en Angleterre que dans le reste du monde.

J'espère que ça ira, merci d'avance  

Age de votre personnage : vingt-cinq ans.
Capacité/don souhaité(e) : demi-vélane.
Comment votre personnage le vit-il ?
tu regardes par-dessus ton épaule, tu le vois, il est parfait, tu jettes un coup d'oeil à ton partenaire, votre signe, il est temps que vous commenciez à faire ce que vous aviez planifié. l'homme que vous alliez dérober était sûrement l'un des plus riches dans cette salle, un moldu, tu aimais faire ça, c'était ta passion, ta montée d'adrénaline, ton ressenti, ta vie. cela faisait maintenant cinq ans que ton clyde et toi aviez décidé de faire ça, de vous lancer dans cette aventure et tu ne regrettais rien, jamais rien. tu es belle, tu le sais, ton sang te le permet et c'est d'ailleurs pourquoi votre équipe fonctionne si bien, tu es demi-vélane, tu peux charmer tous les hommes, tous, pas un te résiste, ou du moins chez les moldus et c'est d'ailleurs néfaste pour leurs richesses. tu t'approches de l'homme avec une coupe de champagne dans la main et tu te postes devant lui avec un petit sourire charmeur. la magie opère. il n'a d'yeux que pour ta personne, ta silhouette, ton corps, ton visage et tes lèvres pulpeuses, dans le coin de l'oeil tu vois ton partenaire monter les escaliers vers les appartements de ta victime et tu jubiles déjà de votre victoire.
explications: cléo a toujours usé de ses charmes, dès le moment où elle a compris comment draguer un homme et le pousser dans ses filets. malgré son don, elle a toujours eu un manque de confiance en elle, pour cause, elle était belle, elle le savait, mais c'était devenu un fardeau à porter dont elle ne pouvait se débarrasser. les hommes elle en a eu, elle en a surtout eu besoin, sans une figure masculine à ses côtés, puisque son père est parti quelques mois après sa naissance, elle a toujours voulu se rapprocher de la gente masculine pour retrouver cette figure qu'elle n'a jamais eu. malheureusement, les hommes, les adolescents, tous ne s'intéresseraient qu'à ses charmes, mais seulement à cause de son don. elle a mis longtemps à s'habituer à cette chose, puis elle en a tiré profit, depuis qu'elle a organisé ces séances de vols avec son meilleur ami, son don lui est bénéfique plutôt qu'inutile. elle s'en sert et sait que c'est mal, très mal, car un jour elle tombera amoureuse, mais elle ne saura pas si l'homme s'intéresse réellement à elle, à sa personnalité ou à son physique embelli par son don.

Age de votre personnage : trente deux ans.
Capacité/don souhaité(e) : demi velane.
Comment votre personnage le vit-il ?
" magnifique beauté. " tu souris, un sourire espiègle et narcissique. Beauté magnifique, bah pourquoi pas, on ne te l'avait encore jamais sorti celle la. Tu souris davantage, tut approches de lui. C'est une proie comme une autre et ton charme ne le fera que fondre davantage. Tu le fixes dans tes yeux. Parfois, ce don t'exaspère. Tu aimerais pouvoir dire que tu l'apprécies, mais il y a quelque chose au fond qui t'empêche d'apprécier a sa juste valeur d'être une demi velane. Un soupir s'échappe d'entre tes lèvres et tes doigts se faufilent le long du visage de l'homme. Tes ongles marquent la courbure de sa mâchoire, de ses lèvres, de son nez. Il est moche. Il n'a rien pour lui le pauvre. Et toi  toi tu le fais envier cette beauté si il n'a pas. Tu le taquines, l'attires dans tes filets sans qu'il ne puisse s'en échapper. Tu es mesquine, mais pleine de pouvoir...

Ce don te contrôle par moment. Quand il a envie de se jouer de toi, il agit sans ton accord et blesse certaines personnes qui tu aurais refusé d'approcher. Comme ci tu n'étais pas toi même. Et pourtant t l'es. Tu es consciente de tout ce que tu accomplis. Alors quand tu penses ne pas être fautive, tu l'es. La personne enfouie au fond de toi  qui adore, qui vénère ce don, tu la caches, tu espères ne pas la faire sortir. Tu aimerais tellement ne pas avoir une mère demi velane, car de ce côté la, tu as pris de mauvais gènes. Ils ne t'empêchent pas de vivre. Mais sérieusement, avoir des mecs a tes pieds cela ne t'intéresse pas tant que ça.

Certains pensent que tu es folle, que tu devrais être heureuse. Tu l'es, mais sans plus. Si tu pouvais t'en débarrasser et empêcher tes futurs enfants de devenir comme toi, tu le ferais volontiers. A côté, ton frère a l'air d'adorer sa condition. Homme velane, comme c'est nouveau, ta mère dit que c'est très rare. Souvent, tu t'empêches de parler aux hommes pour ne pas avoir a les 'contrôler' mais dans le monde du journalisme, tu ne peux pas trop y échapper malheureusement.


(J'avais oublié qu'elle était velane. Mais du coup j'espère que ça va... J'ai pondue ça vite /familyreturnholidaystoday/)

Age de votre personnage : vingt-six ans.
Capacité/don souhaité(e) : animagus, forme de panthère.
Comment votre personnage le vit-il ?

Les pas feutrés du félin ne brisent pas la tranquillité de la nuit, alors qu’il s’avance tranquillement vers sa proie. Son regard glacé est fixé sur son trophée, insensible au sorcier qui l’observe une bonne centaine de mètres derrière lui. Une minute plus tard, on entend un rapide grognement, un glapissement terrifié, puis plus rien si ce n’est le rire retentissant du sorcier qui transplane près de la panthère noire. Cette dernière lève un regard paresseux vers lui, la gueule ensanglantée. Puis, dans un mouvement gracieux, elle saute un peu plus loin en reprenant sa forme originale, celle d’une magnifique jeune sorcière. Elle laisse le sourire triomphant de son père l’envelopper, un rare signe d’affection qui ne lui est offert que très rarement.


Cette bénédiction est une rare fierté qu’elle partage avec son difficile père. Ce ne fut pas facile pour la demoiselle de devenir un animagi, mais le patriarche des Yaxley l’a toujours poussé plus fort chaque jour, à coup de torture, sans jamais se soucier de son grand état de fatigue. Elle a souffert, suée, elle a tout donné, jusqu’au jour où son corps s’est démodulé en panthère, un chasseur magnifique. L’éducation de Nyx ne s’est toutefois pas terminée-là, puisque son père avait un plan très particulier en tête pour sa fille aînée. Un homme adorant la torture, et en constance recherche de nouvelles techniques. Quoi de mieux qu’un dangereux prédateur pour terrifier et blesser leurs victimes encore plus? Alors, il a fait de Nyx une excellente chasseuse, autant sous forme humaine qu’animale. Elle, comme tout, le vit très bien. Elle aime se glisser dans la peau de l’animal, sentir chaque muscle de son corps et se déplacer dans la nuit comme une ombre, un fantôme. Elle ne fait qu’un avec la bête, apprivoisant son mode de vie, l’ajoutant au sien. Elle peut s’évader comme elle veut, s’oublier, laisser le monde derrière elle. Nyx caresse parfois l’idée de rester sous sa forme d’animagus à tout jamais, mais elle s’y empêche dû à lui, son frère, qui deviendrait le seul héritier des Yaxley. Alors, elle se transforme comme elle peut, sous le radar, dans la nuit. On peut dire qu’elle profite autant de son corps de sorcière que le pelage de la panthère, qu’elle ne fait plus qu’un, avec les années, avec cette autre personnalité. Elle sait déjà que lorsqu’elle aura atteint le bout de sa vie, elle ira lécher ses plaies quelque part perdu dans le monde, seule, finalement libre.


merci de la considération.

Age de votre personnage : trente-deux ans.
   Capacité/don souhaité(e) : métamorphomage.
   Comment votre personnage le vit-il ?
   

Citation :

Il n'est pas loup-garou comme son père mais a hérité des talents de Métamorphomage de sa mère. Dès le jour de sa naissance, ses cheveux changeaient de couleur.

teddy n'a pas eu le choix, cette capacité s'est imposée à lui dès le jour de sa naissance. il est soulagé de ne pas avoir hérité de la malédiction de son père, et être métamorphomage le rapproche un peu plus de sa mère. il aime ce don avec lequel il s'amuse, notamment auprès des jeunes élèves de poudlard. en plus de cela, c'est une véritable fierté qu'il entretient avec soin. le contrôler est loin d'être aisé et ce pe également être un inconvénient à ses yeux : cheveux qui changent de couleur au fil de ses émotions ? non, ce n'est pas toujours pratique.

merci   

Age de votre personnage : 43 ans
Capacité/don souhaité(e) : loup garou
Comment votre personnage le vit-il ?
Ce n’est qu’une morsure, ça ne sera pas suffisant. Il en faut plus pour devenir un animal, plus pour devenir comme celui qui est responsable d’une plaie qui ne guérit pas. Déjà vingt jours, et elle semble s’agrandir de jour en jour, comme rognant les chairs, mordant l’humain. C’est un refus face à l’évidence. Pourtant, tu sais, tu as lu suffisamment d’articles sur cette maladie, c’était même ton sujet de recherche pour devenir médicomage. Tu SAIS. « Tu devrais consulter un médicomage, autre que tes propres prescriptions » Un refus catégorique. Les jours passent jusqu’à la prochaine pleine lune. Par précaution, tu as quitté le foyer, tu es parti te réfugier dans la foret, comme un espoir que tout ceci ne soit qu’un cauchemar, que la douleur qui te tord les côtes n’est qu’un mal qui va disparaître demain. Le corps s’arque, se brise. Et la suite tu l’as connaît.

Une malédiction qui le touche à 30 ans. Ils disent que les loups-garous ne s’attaquent pas aux sorciers, qu’on a peu de chance d’en croiser un dans sa vie. Bande d’idiots, vous qui établissez les statistiques. C’est une condition avec laquelle il doit vivre, une condition qui l’envoie en prison deux ans plus tard. Il n’a pas pris la potion, n’en a pas trouvé. La Hongrie est intransigeante au sujet des loups-garous, ce sont des gibiers qu’il faut abattre. Deux hommes tombent. C’est un carnage dont il ne se souvient pas, mais le juge ne l’écoute pas. Il est une créature à présent. « un sorcier aurait eu droit à un procès, vous êtes une bête » Les chaînes pour maintenir l’animal. Être devenu un loup-garou lui vole tout ce qu’il avait construit. Un enfermement, une humanité qui s’étiole pendant ces années. En sortant, ce n’est plus tout à fait un sorcier, et pas encore une bête. Un croisement effrayant. Il faut réapprendre. Son nom est connu, on refuse de lui adresser la parole.  Le médicomage respectable n’existe plus dans l’esprit des voisins. Ils écoutent les commérages, lisent les journaux. On ne veut plus voir l’assassin. « Créature ! Bête! » Entend t-il. Cassius s’enfuit, délaisse la Hongrie pour l’Angleterre.

Merci  

Age de votre personnage : vingt-deux ans.
Capacité/don souhaité(e) : lycanthrope.
Comment votre personnage le vit-il ?
18 ANS. A la fenêtre de ta chambre, tu fixes depuis plusieurs minutes la nuit noire, et au loin l'épaisse forêt bordant le jardin du manoir à peine éclairée par les rayons de la pleine lune. Seule, tu n'arrives pas à dormir. Tu t'es fait porter malade afin d'éviter cette ignoble réception chez une famille dont tu as oublié le nom, tu n'as jamais aimé ce genre de retrouvailles et de dîners hypocrites. Mais rester seule au manoir, tu ne l'avais jamais fait et les bruits de cette antique bâtisse te font sursauter, le plancher qui craque, le vent dans les couloirs, les portes qui se referment en un bruit sourd. Par cette fraîche nuit d'été, tu enfiles un chandail et sort, seulement vêtue d'une légère robe, te dirigeant d'un pas traînant vers la forêt. Tu as l'habitude de t'y promener la journée, et les rayons de la lune la rende encore plus belle, plus majestueuse à ton regard.

Malheureusement, ton esprit concentré sur cette beauté ne distingue pas la peur d'yeux sur ta gauche, ton oreille n'entend pas le léger bruissement de feuilles indiquant que tu n'es pas seule et que cet être se rapproche de toi. Tu te sens projetée à terre, un poids t'empêche de te relever. Tes yeux s'ouvrent en une demi-seconde, ton corps tremble de peur, ta main attrape ta baguette dont tu ne te sépares que très rarement. Tu essayes de te protéger, les bras au dessus du visage et sent des crocs s'enfoncer dans ta chair. La douleur qui s'empare de toi est bien pire encore que ce que tu aurais pu imaginer de toute ta vie. Avec le peu de lucidité qu'il te reste, tu lances un sort à cette bête que tu as très bien reconnue : un loup-garou. La baguette pointée vers lui, tu te relèves et part à reculons. Une fois loin, l'animal hors de portée de vue, tu te mets à courir vers le manoir, une douleur lancinante dans ton bras, ta robe commençant à se tâcher de sang.

22 ANS. Il ne se passe pas un jour sans que le souvenir de cette nuit-là ne vienne te hanter. Au début, ta famille a eu du mal à l'accepter et a payé les meilleurs médicomages dans l'espoir de te soigner, sans succès. Ton père a voulu que tu te caches pendant les premiers mois après ta transformation, tu as dû inventer des excuses auprès de tes amis et de tout le monde, pour eux, tu étais à l’hôpital suite à une maladie assez grave et personne ne pouvait venir te voir. La seule chose que tu peux prendre est la potion tue-loup à chaque pleine lune, pour réprimer tes instincts primaires. Et pourtant, même avec cette solution, tu sens chaque jour que ce "don", que tu aimes appeler ainsi par ironie, prend plus de place dans ton organisme, dans ton esprit. Il arrive aussi que la cicatrice que tu portes à ton bras te brûle, sans que tu n'en comprennes la raison. Tu n'oses pas en parler, par peur des réactions. Tu as appris à ne pas parler de cette partie sauvage de toi, tu te joues des apparences. Même si tu sens en toi que le changement est omniprésent, tu as peur de te transformer en bête assoiffée de sang, tu fais des recherches qui ne donnent jamais grand chose. Souvent, tes "crocs" ont soif de sang, ton corps tremble d'une excitation bestiale à l'idée de planter ceux-ci dans la chair fraîche et sanguinolente de tes amis. Un instinct primaire que tu essayes de réprimer tous les jours.



Bon, j'avoue que c'est peut-être une interprétation trop personnelle, et peut-être un peu cliché, du don mais c'est vraiment comme que je la vois.    Merci

Cassius - J'accepte volontiers, j'aime bien ta vision, ça me fait penser à Hannibal d'ailleurs, sauf que là on a le "médecin malade"  
Moïra - C'est vrai que ton interprétation est un petit peu cliché, mais je t'accorde le don tout de même, en espérant que tu l'exploiteras davantage en RP   

Age de votre personnage : vingt-cinq ans
Capacité/don souhaité(e) : fourchelangue
Comment votre personnage le vit-il ?

Voici la manière dont j’imagine ce don pour Larissa, il aurait toujours eut un rôle à jouer, et aurait autant évolué qu’elle durant toutes ces années. Il fait partie intégrante de sa personnalité et a eu beaucoup d’influence dans les choix qu’elle a faits. Cela a aussi entrainé la mauvaise estime qu’elle a désormais d’elle à cause des remarques qu’on fait les autres à son sujet et au sujet de ce don plutôt controversé au sein de sa famille, mais aussi de la société magique. En effet, en dehors de l’élu, la capacité de fourchelangue a été connue pour appartenir au Lord Voldemort et donc, étant synonyme de magie noire…

La capacité de fourchelangue est héréditaire.  Et, la famille Stroganova, éminente famille de sang pur de la mère de Larissa, pensait que celle-ci, avait disparu de la lignée, à leur grand désespoir, eux qui basaient le choix de leur héritier sur la possession, ou non, de cette capacité. Hors de question de se référer à celui qui était le premier né tant ce dernier pouvait être faux et si éloigné des coutumes et intérêts familiaux. De ce fait, l’héritier des armoiries familiales et du poids de la conservation de la lignée devait être celui qui possédait cette capacité. Seulement, les trois membres de la génération précédente ainsi les quatre enfants déjà nés, la grande sœur de Larissa ainsi que ses trois cousins, ne possédait pas la capacité tant recherchée, et, le doyen, dernière personne en possession du don de fourchelangue, commençait à perdre espoir. Dans le cas où aucun enfant doté de la capacité, cela serait surement la fin de la paix au sein du clan, cela serait le début des problèmes : Les héritiers potentiels commenceraient à se déchirer, à courir après la fortune et le pouvoir, à mentir, trahir, peut-être même tuer afin d’accéder à l’héritage, cela risquait d’entrainer la fin de l’âge d’or de ce clan. C’était une question de vie ou de mort, il fallait donc absolument que l’un des enfants soit doté de ce don.

De ce fait, la naissance de Larissa, et surtout, l’apparition de son affinité avec ces animaux à sang froid ont étés vues comme un véritable miracle. Dès sa plus tendre enfance, elle fut considérée comme une reine, choyée, protégée voir surprotégée, elle a, de ce fait, considéré cette capacité comme un véritable don de Dieu. A peine pouvait-elle parler, et marcher, qu’elle avait dans son sillage les serpents qui sont, depuis ce jour, ses plus grands alliés. Rejetée par certains hommes, ayant peur, ou pensant que la réapparition de cette capacité dans leur campagne russe était synonyme de mauvais présage. Jalousée, par ses cousins, frères et sœurs, oncles tantes et même parents, qui considéraient qu’elle leur volait leur héritage elle était seule au sein de sa famille. Alors, elle se tournait vers les serpents, eux, la comprenaient. Elle a appris à les comprendre de la même manière et à interpréter leurs sifflements les plus rares. De ce fait, elle n’a jamais réellement souffert de sa nature. Enfin, en apparence seulement. En effet, c’est cette capacité qui l’a obligée à quitter son pays natal, qui l’a obligée à quitter sa famille, ou du moins la partie de sa famille qui lui importe et tout la vie qu’elle avait tellement aimé durant toutes ces années. Tout ça à cause de la jalousie de l’un de ses cousins qui a essayé d’attenter à sa vie. Elle n’était plus en sécurité et a donc dû quitter la Russie pour l’Angleterre, le temps de devenir plus forte, de devenir une Stroganova digne de ce nom capable de maintenir l’ordre dans cette famille.

Mais, elle n’a jamais rien laissé paraitre concernant la fragilité qui la poursuivait suite à cette mauvaise expérience, elle se devait d’être exceptionnelle, car la place à laquelle elle était destinée l’obligeait à l’être. A Poudlard, on l’observait du coin de l’œil, à la fois intrigués et inquiets, les élèves de l’école n’osaient pas réellement l’approcher. Mais, elle n’en avait que faire, déterminée, et charismatique, elle a réussis à se faire une place et à faire oublier la peur entrainée par ses compagnons rampants. Cela faisait partie de ses plus grandes qualités, réussir à convaincre, à obtenir ce qu’elle voulait quoi qu’il arrive et ce, même si pour certaines choses, elle devait user de stratagèmes plus ou moins douteux et légaux. Elle manipule, inquiète et promet morsures ou étranglements ceux qui peuvent l’empêcher d’arriver ses fins, elle est devenue ambitieuse Larissa, et surtout cupide. Quiconque l’écarterait de son héritage passerait quelques mauvais moments en compagnie de ses serpents, elle a aussi appris à inquiéter par la force de ses sorts et de ses potions. Mais, désormais, elle est devenue plus mature, elle sait très bien qu’elle ne peut pas user de ses serpents à tout va, elle a appris à user plus de sa verbe que de sa baguette ou de ses capacités. Dans son travail, c’est cela le plus utile, user de paroles pour faire passer son opinion comme un hibou par une fenêtre. Mais, elle n’a jamais oublié ses serpents, ils font partie d’elle, de sa personnalité, de sa vie, sifflante, menaçante, discrète et silencieuse, elle est devenu l’un de ses serpents, agissant dans l’ombre mais terriblement dangereuse elle agit pour le Lord sans y paraitre, elle prêche pour les intérêts des sangs purs, elle espionne au ministère, elle manipule, dépose son poison dans les veines de ses victimes et menace ceux qui ne vont pas dans le sens de ses intérêts… Peut-être est-elle aussi sombre que les rumeurs le disaient, si c’est le cas, elle le cache bien, mais, derrière ses sourires il est presque sûr que quelque chose de terrible enfle.

Voilà, je ne suis pas très satisfaite de mes écrits mais j'espère que cela conviendra tout de même! Je vous remercie de me lire!

Age de votre personnage : Vingt-six ans.
Capacité/don souhaité(e) : Occlumens.
Comment votre personnage le vit-il ?
Sûrement cette particularité ne saurait être mieux utilisée par nul autre que toi. Ton père te l'a enseignée il y a de cela bien des années maintenant et nombreuses sont les fois où tu as pu, du t'en servir. Tu portes le nom des Avery, cette famille respectable à la force indéniable. Ainsi, il n'est seulement possible de songer à l'hypothèse qu'une quelconque faiblesse soit révélé en son sein. Est-ce pour cette raison que ton géniteur a, avec tant d'ardeur, voulu t'enseigner cette particularité que son propre père lui avait légué ? Tu ne l'as jamais su. N'as jamais posé les questions. Toutefois sûrement dans ses yeux as-tu pu lire à l'époque une certaine crainte. La crainte de voir son enfant aîné ne pas être à la hauteur. La crainte qu'elle puisse, que tu puisses devenir une faiblesse. Pour toi-même, pour lui, pour eux. Sûrement n'a-t-il pas voulu prendre de risques. Et sûrement te savait-il suffisamment intelligente et compétente pour assimiler ce qui pourtant s'est révélé si dur à maîtriser. Ainsi tu as appris, non pas sans souffrance, à protéger ton esprit, tes secrets, tes faiblesses. Et par la même occasion à protéger ton nom. Tu as appris à forger ce bouclier impénétrable qui aujourd'hui te protège d'autrui. Qui te sert, tant dans ton métier si mystérieux que sur le terrain lorsque des impurs tu dois exclure. Et sûrement n'as-tu jamais été plus reconnaissante envers ton père qu'en ce moment, car définitivement, tu n'as jamais été plus faible qu'en ces temps. Tu détestes ça. Ou plutôt, tu détestes l'influence que certaines personnes peuvent avoir sur toi. Comme tu hais le fait que l'ennemi puisse ne serait-ce qu'un minimum s'immiscer dans ton esprit, te déconcentrer. Puisse même par la suite peut-être t'aveugler, te détourner de ton objectif. Oui, cela te révulse, t'inquiète, mais tu ne peux pas le montrer, tu dois rester de marbre, ne pas laisser se briser ton cœur pourtant forgé de pierre. Tu ne peux prendre le risque de montrer au monde ce qu'il se passe dans ta tête, ni le visage de la personne qui t'obsède. Alors oui, tu n'as jamais été plus reconnaissante qu'en ce moment, jamais plus satisfaite de ce don que depuis que tu as mis les pieds dans cette guerre sans fin, depuis que tu as accédé au pouvoir. Et indéniablement, depuis que tu as rencontré celui qui se nomme Lupin.


Voilà, j'espère que ça conviendra quand bien même ne suis-je pas forcément très fière de ce texte 

oh je te remercie ! j'espère recevoir un de tes mps sous peu !

Age de votre personnage :  21 ans
Capacité/don souhaité(e) : Voyance
Comment votre personnage le vit-il ?
 



Merci !  

Bonjouuuuur   

Age de votre personnage : 24 ans.
Capacité/don souhaité(e) : Fourchelangue.
Comment votre personnage le vit-il ?
Il est des lignées qui oublient leurs origines. Il est des familles qui effacent de leurs mémoires ce qui n'apparaît que trop peu souvent, ce qui n'est finalement qu'une anecdote dans le sablier égrené du temps. Et quand un don tel que le fourchelangue disparaît des préoccupations, son retour ne peut être que trouble, douleur et déceptions. Elphaba n'a jamais été une enfant particulièrement aimée, élevée dans une violence trop présente, trop peu assumée. On ne peut se forger convenablement dans les souffrances, dit-on. La fillette a découvert son affinité avec les serpents lorsque son corps n'a plus supporté l'agressivité paternelle, désireuse de venir en aide à son frère, à celui qui la protégeait tant bien que mal. Ce fut un lourd secret. Ce serpent dressé entre elle et la solitude l'aida à se relever quand l'espoir s'éteignait. On raconte que les sorciers dotés de cette capacité ont tendance à mal tourner, serpentards dans l'âme, victimes des rumeurs. La jeune Selwyn opta ainsi pour ne rien dire, pour que seule la famille soit informée de ce talent qu'elle ne maîtrisait pas ; c'est le serpent qui te contrôle, disait son père, railleur et agressif. Ce fut, en effet, l'animal qui s'infiltra longtemps dans ses réactions les moins réfléchies, dans ses moments de doutes. Répartie à Serdaigle, elle fit en sorte d'engendrer le plus de connaissances possible, et lentement, la frêle enfant devint femme fière, droite, sans sentiments. On dit que son sang est aussi froid que celui d'un cobra. Son talent fut révélé à sa sixième année à Poudlard, lorsqu'elle opta pour confier son secret au mauvais bougre qui se fit un plaisir de le répéter ; la confiance ? Plus jamais.

Assumer fut compliqué, d'autant que retourner auprès des siens était une épreuve psychologique constante : son frère était bipolaire, elle fermait son coeur au monde, emprisonnant toute émotion dans une bulle hermétique, passant alors pour l'image de l'étrangeté, l'archétype de la fourchelangue dérangeante. Elle n'était pas de celles qui se vantent, roulent sur l'or et se réclament d'un prestigieux sorcier d'antan, d'un mage noir ou d'un fondateur : elle était silences et regards de glace. Derrière le masque, la douleur qui lacère. Sans doute ne s'est-elle jamais remise de la situation, de la mort répandue dans le monde. Pragmatique à souhait, elle n'a plus confiance en personne, elle sert ses propres intérêts, les reptiles devenus ses yeux et ses oreilles. Elle n'a que faire de déclencher des frissons à ceux qui ignorent qu'elle n'est pas la cruauté qu'elle laisse paraître. Ce qu'elle défend va au-delà des préjugés. Les Mangemorts sont dans l'erreur, sa vie, son talent, serviront ainsi un jour à combattre l'aveuglement dans lequel bien trop de sang-purs sont éduqués, extirpés d'eux-mêmes, incapable de faire preuve d'un jugement éclairé. Le fourchelangue a fait cette femme qu'elle est devenue, cet apparat de glace, d'amertume, dissimulant la réalité d'une fragilité latente ; le psychisme désordonné est aussi héréditaire que cette langue mystérieuse. Heath est bipolaire, on dit qu'elle n'a pas de myocarde pour autrui.

Merci d'avance de prendre le temps de lire mon petit pavé 

Oh merci