Trouve l'esclavagisme des elfes de maison répugnant - Loin de les traiter littéralement comme une sous race non-intelligente, le simple fait de voir des sangs-mêlés et des nés-moldus réussir dans le monde magique le rend malade. Pour lui, ils ont le droit de pratiquer, mais devraient hiérarchiquement obéissance aux sangs-purs - Aime pourtant beaucoup le monde des moldus qu'il trouve fascinant. Bien sûr, c'est le genre de détail qu'il garde pour lui - Son père, fidèle mangemort avoué, est enfermé à Azkaban depuis plusieurs années maintenant - Sa plus grande phobie est, a toujours été et sera sans doute à jamais celle des orages. Oubliez le grand et fort gaillard lorsque ceux-ci éclate; il redevient l'enfant qui se recroqueville sur lui-même et pleure a chaudes larmes. C'est une faiblesse exploitable mais très difficile à déceler. - Ses multiples tatou n'ont rien a voir avec ses caprices de beauté. Les premiers, sur son avant-bras, servaient à camoufler la marque de son maître après sa fuite. Les autres sont apparemment pour détourner l'attention, mais entre nous, il semble avoir prit goût à cet art moldu.. - Il prétend ne pas fumer mais garde toujours un paquet de cigarettes caché quelque part - Grand fan de métal, c'est bien le seul art moldu qu'il défend avec ardeur. Ça l'aide à extérioriser ses émotions... Mais n'allez surtout pas croire que ça à influé sur son style et ses tatou, hein! C'est purement pour la couverture! - Se sait et s'admet -quand personne n'est aux alentours- bisexuel, mais son éducation ne lui permet tout simplement pas de se laisser approcher par d'autres garçons. Ses expériences passées non plus, d'ailleurs. -


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que pensez-vous de la valeur du sang ? «La valeur du sang? Vous voulez que je vous parle de la valeur du sang? La valeur du sang, c'est le prestige de mon père et de son père avant lui, la fierté de ma famille menacée par cette vague de sangs-mêlés qui se permettent de nous dire à nous, SEULS et RÉELS sorciers comment administrer notre monde. Souvenez-vous, sangs-de-bourbes. Vous n'êtes que tolérés chez nous et tant que je respirerai, vous n'aurai aucun pouvoir décisionnel en cette société. Certes, je ne suis peut-être plus du côté du seigneur des ténèbres, mais les Ciseburines auront dévoré mon corps en entier avant que le jour ou je consentirai à vous voir comme égaux ne soit arrivé.»

Birmingham, siège de la maison Selwyn, 9 décembre 2004


Tu n'es qu'un bébé, une petite chose naissante aux grands yeux bleus et aux mains minuscules, un simple petit garçon qu'on s'est promis de chérir et d'aimer peu importe ses choix. C'est une promesse que l'ivresse du premier enfant apporte, mais comme n'importe quelle autre, on se réveil le lendemain et on oublie. On oublie ce qu'on à dit, on oublie même qu'on à menti. Tes parents étaient heureux, ô si heureux de t'avoir, de te voir arriver dans leur vie comme une bénédiction inespérée chez les Selwyn; un hériter. Un héritier grand, fort qui était promis aux plus sombres et glorieux destins dès le jour ou Lord Voldemort avait posé les yeux sur lui et avait murmuré «Prends-en soin, Selwyn». Comme une menace, une promesse pour le future de cet être chétif. Il aurait sa place en ce monde, une place que personne n'aurait même su prévoir. Pas même lui, pas même ton maître.


Tes parents? Franchement, c'est bien difficile à dire, à décrire et c'est lorsqu'on te pose des questions sur eux que la vérité te frappe en plein visage : petit enfant égoïste, coupable, tu ne connais guère ceux qui ont tout donné pour te voir devenir qui tu es. Tu as grandis auprès d'eux, tu as mimé les gestes de ton paternel et rêvé de lui ressembler en grandissant, puis tu es allé pleurer dans les bras de ta mère lorsque tu te faisais mal, lorsque tu avais besoin d'un bon coup de baguette pour refermer trop grande plaie ou pire, mal être devenant de plus en plus fréquent avec les années. Tu n'as jamais su à quel point elle était malheureuse, à quel point la vie avec ton géniteur était calvaire et toi ainsi que ta sœur, son unique raison d'être. Tu n'as jamais réalisé a quel point ton père était un monstre avec elle.


Et elle ne l'a jamais laissé paraître. Elle t'aimait trop pour t'arracher ton modèle, ton papa.


Birmingham, manoir Selwyn, 21 Juillet 2011


«... Je sais pas, Boyd..»


Ta voix est murmure et ton visage, sombre. Tu ne sais pas ce qui ne va pas. Voilà des jours qu'un silence de mort règne dans ce manoir et toi, toi tu es gardé à l'écart. Quelque chose s'est produit, entre ton père et ta mère. Quelque chose de mauvais, quelque chose qui donne à celle-ci cet air morne et détruit, et à lui, ce visage a cran, cherchant le moindre problème pour le corriger d'un violent coup de baguette ou pire. Par les poings. C'est une méthode moldue que ton père sait utiliser par moments, une méthode qui te fais peur mais qui, heureusement, se voit facilement évitée une fois les bons mots et les bons gestes employés.


Vous, toi, ta sœur et ta mère, marchez sur des œufs dans ce manoir. Chacun de tes pas est surveillé, encadré, corrigé, et celle qui t'a toujours démontré son affection ne peut même plus te serrer dans ses bras. Il s'y refuse. Quelque chose ne va pas et tu ne sais pas quoi...


Boyd te regarde, penche la tête légèrement à la manière d'un animal curieux et essuie la poussière de son draps déchiré, son seul, crasseux et ridicule vêtement. Ballet entre ses mains griffus et visage ridulé tel un pug, ne laissant réel place entre ces pommettes affaissées qu'à une pair de petits yeux ronds, il t’observe de cet air qui lui a déjà valu mille coups et mille prochaines fessées de la part de ton père. Ce stupide elfe de maison, ton stupide meilleur ami.


«... Vous ne savez pas ce qui ne va pas... ou vous ne savez pas quoi faire au sujet de ce qui ne va pas..?»


«Silence, Boyd!»

«Boyd obéit aux maîtres..»


Puis il s'en va, reprend entre ses griffes le sceau d'eau et va chercher la serpillière, grommelant quelque chose au sujet des planchers sales. Toi, toi tu le regardes partir et tu aimerais le retenir, lui dire que quelque part, sa présence est la seule que tu saches tolérer. Parce que c'est la seule qu'on t'a appris à tolérer. Personne si ce n'est Boyd l'elfe de maison ne t'a vu grandir et évoluer, devenir le petit chenapan que tu es à ces heures.

Poudlard, 12 septembre 2016

Et cette fois c'est un sourire qui orne ton visage, franc, heureux, libéré. Tu vas a Poudlard! Tu vas a POUDLARD! Après des mois a paniquer, a crier, a pleurer, à trembler sous le simple nom 'Durmstrang', toi, ta mère et même ta petite sœur avez réussi à convaincre ton père de t'envoyer dans cette école, cette prestigieuse école ou ton grand-père et ses pères avant lui ont étudiés. Tous des Serpentards. Tous des hommes forts au grand potentiels, voués à la réussite. Tous, tous et toi y compris, toi qui suis leurs pas, toi qui entre dans la grande salle accompagné des autres sangs-purs. Des Malefoy, des Greengrass tout comme ta mère et quelque Rosier.


Ton cœur manque un battement en fasse du choixpeau.


Quelque chose ne va pas. Tu ne saurais le décrire, y mettre un nom et encore moins te rassurer, mais quelque chose ne va pas et essayer de te persuader que si ça n'a ni nom ni nature, ça n'est pas dangereux ne fonctionne pas. Pas cette fois. C'est Boyd qui t'a appris ce dicton, qui t'as appris que si quelqu'un te regarde avec haine, que si quelqu'un te hait c'est pour une bonne raison... Toujours pour une bonne raison. Et ce choixpeau te regarde, te dévisage longuement alors que tu t'avances, montes ces marches pour t'asseoir sur ce banc.


Tu fermes les yeux et sens le contact de ce vieux morceau de tissus sur ta tête.


Il ne peut pas te détester, il ne te connait pas... il...


«GRYFFONDOR!»


Et cette fois c'est deux battements que ton cœur manque. Ce chapeau te déteste.


Ce chapeau te DÉTESTE!


Et il vient de ruiner ta vie en un seul mot.


Garre Kingscross, 9 Décembre 2016


Tu as pleuré. Tu as passé cette première moitié d'année cloîtrée dans une toilette rien de moins magique pour pleurer, te calmer, sentir ton cœur arraché battre, battre et battre plus fort. Il t'a fallu te lever des cours et sortir pour aller vider tout ça, aller t'arracher ce surplus de haine du fond de la poitrine. Tu ne comprends pas. Tu ne comprends toujours pas pourquoi, comment cela pouvait être possible alors qu'AUCUN Selwyn dans la prestigieuse histoire de votre famille n'a dérivé du chemin vert et argenté qu'était la maison Serpentard! COMMENT?! Tu l'as crié, tu as tenté de changer le verdict, tu as supplié tout les professeur, le directeur, n'importe qui. Mais rien n'y fait. «Le choixpeau ne se trompe jamais». NON!


Le problème n'est pas là.


Le problème arrive à grand pas de l'autre côté de la plateforme neuf et trois quart. Le problème porte ton nom, ou plutôt... tu portes le sien et tu l'as déshonoré de par ce simple choix que tu n'as jamais pu faire. Le problème, c'est ton père qui sait, ton père qui avait voulu t'envoyer souffrir dans les contrées froides de Durmstrang, ton père qui... ton père qui avait raison!


En franchissant cette barrière magique, ta tête est basse, si basse que tout ce que tu vois sont ses chaussures. Son regard, tu ne l'as affronté que beaucoup plus tard, en revenant chez toi... Et ce jour là, tu as compris que l'enfer sur terre existait. Au plus profond de ses yeux.


Joyeux anniversaire, Percy.


Manoir Selwyn, 10 Décembre 2016


«TRAÎTRE A TON SANG! COMMENT PEUX-TU TE TENIR LÀ OU ILS SE SONT TENUS, MON PÈRE, TES AÏEUX? TES ANCÊTRES!! S'ILS TE VOYAIENT, S'ILS POUVAIENT...»


Il fait un pas en ta direction, tend la main vers ton cou d'enfant et toi, toi? Tu fermes les yeux, ravale tes larmes, tremble de tout ton corps et ne bouge pas. Tétanisé par la peur de l'homme qui t'a mis au monde et qui aujourd'hui, tu en es sûr, ne souhaite qu'une chose : t'y retirer. Oh comme il regrette. Il regrette d'avoir épousé ta mère, il regrette d'avoir été aussi fier du petit bébé aux yeux bleu qu'il tenait 12 ans au part avant dans ses bras. Il regrette d'avoir donné espoir d'un fidèle serviteur à son maître et surtout, il craint pour lui-même. Par ta faute. Par ta seule et unique faute. Ses doigts froids ne rencontrent pourtant pas ton cou, non. Ils percutent ta joue d'un violence qui t'envoie directement valser au sol, la tête qui tourne et le visage qui brûle.


Tu restes là, tu ne bouges pas et pleures en silence.


«TU ÉTAIS MON HÉRITIER!»


Étais. Ton cœur se serre si fort que ta main vient empoigner ta chemise, là ou il devrait être, la serrer, blanchir tes phalanges alors que ton visage se crispe dans une grimace de douleur. Tu as mal a l'âme, mal, si mal.


Ta mère tien ta sœur dans ses bras, de ses peau blanche tente de la garder de l'horreur à laquelle elle assiste. C'est peine perdue. La pauvre ne peut retenir ses larmes en te regardant, te murmurant des yeux de rester fort, que tout irait bien. Mais c'est faux. Tout n'irait pas bien.


«TIENS, TE VOILÀ, TOI!»


«... Bo..Boyd peut-il se rendre utile aux maî-»


«ENDOLORIS!»


Et le petit elfe de maison se recroqueville sur lui-même, s'effondre au sol et gémit, gémit. On lui a apprit que crier rendait tout plus pénible et amusant pour ton géniteur. Mais pas cette fois. Cette fois c'est une mission qu'il se donne, un devoir que de clouer cet être inférieur au sol et l'offrir en pâture a nul autre qu'a son chacal de fils. Tu détournes les yeux, tente de te relever mais la main glaciale agrippe ton collet te pousse vers cette masse d'agonie et de supplications silencieuses. A ce stade, Boyd aurait préféré la mort que de continuer à vivre dans cette maison de détraqués.


Et Selwyn Senior allait finalement, après 19 ans de services, la lui accorder.


«DRACO PERSEUS SELWYN...»


Non..


«SORS TA BAGUETTE.»


Non...


Et pourtant tes doigts tremblant viennent empoigner le manche et la sortir, lentement, avec l'assurance d'un premier né sur ses deux frêles jambes. Ton père sourit, te regarde faire, une lueur d'espoir naissant dans son visage autrefois tordu par la haine et la colère. Sa voix se calme, son assurance habituelle revient. Ou presque.


Claquement, sifflement de serpent défiant toute résistance.


«Tu connais le sortilège.»


«... B-Boyd a servi cette famille pend-»


«SILENCE.»


Ta mère baisse les yeux, incapable de s'opposer a ton père qui a marqué toutes ces années de mariage par la violence et la peur. Ta sœur pleure, pleure a chaude larme dans ses bras et elle ne sait que faire, la sert contre elle si fort qu'elle ne pourrait jamais se retourner pour assister au spectacle.


Et toi, tu trembles, trembles, trembles toujours plus et ton estomac n'aura jamais été aussi noué. Tes lèvres s’entrouvrent et laisse sortir un souffle aussi tremblant que le reste de ton corps. Ta voix est rauque, se bloque, n'arrive pas a raisonner dans cette pièce.


Il te faut tout les efforts du monde pour finalement les prononcer, dire adieu a Boyd, au petit elfe de maison a l'air grognon qui t'écoutais, connaissait tes secrets mais jamais n'en avait parlé à qui que ce soit. Au petit elfe de maison que tu as toute ta vie vu comme ton ami, au serviteur de la maison Selwyn...


«AVADAKEDAVRA!»


Plus vite qu'un jappement, plus sinistre qu'un croassement.


Et en l'espace d'une lueur verte,


C'était terminé.

La forêt interdite, 1 ier Juin 2027


Les années ont passé et le fouet du temps n'aura jamais été aussi pénible après cette nuit. Ton père n'aura jamais su te pardonner et cet acte qui te suivra jusqu'à la fin des temps a laissé gravé dans ton cœur haine et ressentiment. Tu es devenu quelqu'un de mauvais, Percy. Considéré comme un raté, ton père aura fait de son mieux pour ignorer l'insulte qu'est ta simple existence, ne t'accordant que peu d'attention.


Mais Peter Pettigrew et bien d'autres mangemorts étaient eux aussi Gryffondor, et ta chance de rejoindre le côté qu'on t'avait imposé est venue comme toutes les autres à tes 23 ans.


Selwyn Junior, qu'ils t’appelaient.


Dans cette sombre forêt ou régnait plus que n'importe ou ailleurs silence, mort et peur allait devenir un endroit spécial pour toi, l'endroit ou cette marque a ton poignet allait apparaître. Les années t'ont fait haïr ton père presque autant qu'il pouvait te haïr toi, et servir le seigneur des ténèbres mieux que lui était déjà ton objectif depuis belle lurette. Lui? Lui, il est à Azkaban, arrêté par les aurors lors d'une banale visite au ministère. Sa baguette lui démangeais, une née-moldue passait par là.

Sa colère, ses psychoses auront eu raison de lui.


Finalement.

Tu prends sa place et son masque, tu prends jusqu'à son identité pour servir au mieux ton nouveau maître, ton nouveau 'père' et ta nouvelle famille. Véritable maître du transplannage et jusqu'ici inégalé par tes pairs dans les maléfices, tes atouts seraient désormais ceux du mal, ceux du ressentiments et des mauvais choix que tu as fait tout au long de ta vie, jusqu'à en venir là. Ta mère est malade, très malade et ta sœur prend soin d'elle.


Toi, tu fais le salle boulot qu'on te donne sans poser la moindre question.


Tes années de mangemort débutaient en ce jour ou de sombres nuages couvraient le ciel, et tu en étais fier.


Si fier et égaré.


Endroit inconnu, 1ier Octobre 2030


C'est terminé.


Toute cette violence, cette haine, cette destruction et... et cette peur.


C'est terminé.


Tu n'en peux plus! Tu n'en veux plus, tout ce que tu souhaites a présent c'est fuir, te cacher, vivre seul, heureux ou pas, mais.. mais loin des conflits, loin de toute cette haine qu'on t'a mis dans le crâne et avec laquelle on t'a arrosé pour faire pousser la mauvaise herbe que tu es devenu. Tu n'en peux plus. Des gens, tu as en tué. Des familles, tu en as brisé. Et chacun d'eux te hante, rend ton sommeil plus léger, plus intolérable. Ton regard est vide et tes joues creuses, tu es pâle, presque mortifié.


Tu abandonnes.


Tu ne peux pas suivre Lord Voldemort. Tu ne peux plus faire un acte qui va à l'encontre de tout ce que les Gryffondors ont tenté vainement de t'inculquer. Tu n'es ni bon ni mauvais. Tu es Percy Selwyn, tu es faible, tu es las, détruit et tout ce que tu veux, c'est être heureux. Une fois dans ta vie. Une fois avant de rendre l'âme ou d'ingérer un philtre qui te délivrerait de ce que tous sauf toi on fait du petit garçon qui se questionnait et qui demandait conseil à son elfe de maison.


Tu abandonnes, tu fuis.


Recherché par l'ordre, tes anciens confrère mangemorts et le ministère, tu te caches, transplanne là ou ils ne penseront pas te chercher avant un moment, puis transplanne une nouvelle fois, incapable d'avoir le moindre répit. Tu as fais du mal et tu ne veux plus en refaire.


C'est terminé, c'est derrière toi.


Ta sœur est a Poudlard, en sûreté. Ta mère... ta mère n'est plus, et c'est elle qui t'a fait prendre cette décision, qui t'a fait réaliser à quel point tout ça n'avait fait que du mal aux gens qui n'auraient jamais dû souffrir. Tu la pleurs toujours, tu la pleurera jusqu'à la fin des temps.


Et maintenant, tu comprends, tout est clair.


Tu comprends ton patronus libre de ses petites ailes rapides, intouchable. Tu comprends Gryffondor, ton fond tout sauf mauvais. Tu comprends pourquoi. Tu comprends tout et tu fuis désormais pour ta liberté, quelque chose que tu n'as jamais même goûté, quelque chose qui te coûtera sans doute ta vie...


Tu fuis, encore et toujours. Lâche et fier de l'être.