¥ Tu parles parfaitement anglais, avec une petite touche française qui sonne délicieusement à l'oreille. ¥ Tu aimes ce don qui coule dans tes veines et cette beauté envoûtante qui en découle. Tu l'utilises pour mieux tromper. ¥ Tu te plais dans les faux semblants et les apparences. ¥ Tu te sens emprisonnée par cette famille parfaite qui milite pour le bien. Tu joues les filles parfaites. Qui en douterait? C'est exactement ce que l'on attend de toi. C'est tellement facile de les tromper. ¥ Tu maîtrises à la perfection le sortilège d'Oubliettes. Il faut dire que tu t'es entraîné pendant des années à ensorcelés tes conquêtes pour qu'ils oublient que tu t'es laissée tentée. Et Merlin sait si il y en a. Tu collectionnes les mecs et détruits leur souvenir. ¥ Tu es pleine de violence et d'agressivité. ¥ Tu as deux hommes dans ta vie. Un pour les sentiments, l'autre pour les plaisirs charnelles. Tu ne te sens pas coupable.Tu ne tes sens pas déchiré. Tu les aimes tout les deux pour ce qu'ils t'apportent. Ils forment l'homme parfait. ¥ Tu es amatrice de patacitrouille. ¥ Tu es cleptomane. C'est plus fort que toi, il faut que tu t'appropries les biens d’autrui. ¥ Tu aimes que les hommes te résistent, tu aimes les hommes que tu ne peux pas avoir, tu aimes les mauvais garçons, tu aimes les hommes, les vrais. ¥ Tu joues du piano. ¥ Tu enroules une mèche blonde autour de son index lorsqu'elle est nerveuse ¥ Tu déverses ton agressivité sur les moldus et tu joues avec eux. Tu utilises ton poste d'oubliator pour déblayer derrière toi. Tu ne les détestes pas... C'est juste plus facile avec eux. ¥ Tu considères que tout ce marchande, tout ce vend. Tu es une véritable fouine. Tu aimes tout savoir et qui sait, à l'occasion tu pourras utiliser les informations que tu as en ta possession.


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que pensez-vous de la valeur du sang ? Tu es persuadée que l'Ordre se bat pour une bonne cause. Tu regrettes seulement qu'il se focalise principalement sur les nés moldus alors qu'ils ne sont pas les seuls à subir la haine des sangs pures. Tu es une hybride. Pour eux, tu n'es qu'une erreur de la nature. Tu veux leur prouver ce que tu vaux réellement. Tu vends des informations à ces maudits mangemorts. Tu sers ta propre cause, puisque personne ne semble s'en soucier. Pourquoi le ferraient-ils? Ils ne se sentent pas concerné.

PENSINE DE KEVIN WHITBY, SON PÈRE

L'excitation s'empare de la foule. Les applaudissements et les encouragements des élèves de Poudlard submerge les gradins alors que Cedric Diggory vient de refaire son apparition à la surface du lac noir. Tes doigts se serrent sur la balustrade alors que tu lance un regard à ton frère aîné, nerveux et stressé. Quelques instant plus tard, c'est le Champion de Durmstrang qui refait son apparition, tirant avec lui Hermione Granger. Ton cœur loupe un battement. Harry Potter est toujours dans les eaux troubles et profondes, il ne lui reste plus que quelques minutes dans le temps impartis. L'aiguille de l'horloge te semble filé à toute vitesse et pourtant, il te semble attendre une éternité. Il n'y a toujours pas la moindre trace du célèbre sorcier que tu idolâtres. Tu te mords l'intérieur de la joue. Tu crains le pire. N'y avait-il pas déjà eu des morts dans les éditions précédentes? Et s'il ne remontait jamais? Un silence lourd chargé d’inquiétude pèse à présent sur la foule, les yeux sont braqué sur le lac, tous attendent à présent la réapparition de Potter. La surface de l'eau se froisse et bientôt, deux corps font leur apparition. Une chevelure flamboyante et l'autre blondinette. Toujours pas de trace de ton héro. Ce n'est que lorsque le deuxième Champion de Poudlard que tu peux enfin respirer. Tu hurles à plein poumons, manifestant ton soutient à ce garçon de Gryffondor. Ton cœur bat à tout rompre, l'excitation s'empare de tout ton être. C'est à peine si tu sens la main de ton meilleur ami encercler ton poignet pour t'emmener avec lui. Viens  Kev', j'aimerais le prendre en photo. Tu le suis, tu ne tiens plus en place, un large sourire malicieux et satisfait étirant tes lèvres. Vous essayez de vous approcher, de vous frayez un chemin parmi les nombreux élèves. Collin brandit son appareil photo, essayant de prendre un clicher de ce sorcier exceptionnel. C'est là que tu l'as pour la première fois. C'est qu'une môme, une gamine, mais sa beauté te coupe le souffle. Ses joues sont rosie et ses lèvres légèrement bleuté. Ses cheveux humides sont plaqués contre sa peau de porcelaine. Fleur, la Championne de Beauxbâtons la frictionne vigoureusement, tentant de lui insuffler un peu de chaleur. Par Merlin ce qu'elle est belle, envoûtante, presque irréelle. On te bouscule de tout les côtés. T'es subjugué, tu te laisses malmener par ces corps qui se pressent autour de toi. Tu n'arrives pas à détacher ton regard de ce petit bout de femme. T'ignores alors que cette gamine, cette môme, c'est la femme de ta vie, la mère de tes futurs enfants.

PENSINE DE GABRIELLE DELACOUR, SA MÈRE

Serait-ce une pointe de jalousie qui effleure ton cœur? Jalouse de ta propre fille et de l'attention qu'il lui porte. Tu te sens un peu ridicule. Ce n'est pas le même amour. Elle est son joyaux, sa princesse, il n'y a rien qu'il ne ferrait pas pour votre fille. C'est un amour pur et incandescent qui anime son regard et illumine son sourire. Adossée contre le plan de travail de la cuisine, tu dévores cette complicité du regard, regrettant de ne pas trouvé ta place à leur côté. Tu ne leur en veut pas. La complicité qui se dégage de leur relation est tellement pure, simple et authentique. Ils semblent les gardiens d'un secret, uns secret hors d'atteinte. C'est comme s'ils parlaient une langue inconnue, une langue dont tu ne connaissais ni les nuances, ni les subtilités. Tu te sens étrangère, tu es relégué au second plan, tu es spectatrice de ce lien unique et précieux. Ils ne semblent même pas avoir conscience de ta présence. Leurs rires s'élèvent à l'unisson, faisant vibrer les murs de la maison. Ils sont plongés dans un vieil album où se trouvait les nombreux clichés pris par un certain Collin Crivey, le frère de son meilleur ami, fauché dans la fleur de l'âge lors de la bataille de Poudlard. Dennis avait partagé ses vieux souvenirs avec mon époux. Kevin effleurait du bout des doigts le papier glacé. Aujourd'hui, il partage son trésor, l'unique souvenir de son frère avec sa fille. Cela t'arrache un sourire. Au plus profond de toi, tu espères partager ce genre de complicité avec votre deuxième fille, Emerance et tu regrettes de ne pas l'être davantage avec Prudence. Prudence. Ta petite Prue. Elle est magnifique. Depuis qu'elle est entrée dans votre vie, tout semble plus beau, plus délectable, le soleil lui-même semble être plus lumineux. Cette gamine semble avoir été embrassée par un ange, elle rayonne littéralement. Nulle doute que le sang de Vélane coule dans ses veines et envoûte tout ceux qui croise son chemin. Son père plus que n'importe qui d'autre. Tu craignais que son amour pour votre princesse ne le rende aveugle et qu'il lui laisse tout passé. Tu craignais que ta fille ne devienne l'une de ces gamines pourries gâtées à qui l'on ne refuse rien. Tu craignais qu'elle ne soit cette fille à papa, uniquement concernée par sa petite personne. Tu voulais tellement plus pour elle.

PENSINE D'EMERANCE WHITBY, SA PETITE SOEUR

Prudence, attends moi, s'il te plait, tu vas trop vite. La respiration haletante, ton cris est à peine sifflé entre tes lèvres, il glisse sur la plage, porté par les brises méditerranéennes. Tes pieds nus s'enfoncent dans le sable chaud, ralentissant ta course. Prudence court sur la courbe de l'horizon, elle va bientôt disparaître de ton champ de vision. Tu accélères la cadence, sans prêter attention à ce cœur qui bat violemment à l'intérieur de ta poitrine, épuisée par la course que tu lui fais subir. Il n'y est pas habitué. Oh tu n'en a que faire. Tu ne t'arrêtes pas, tu continues à courir pour rejoindre ta sœur aînée et ce, malgré la pointe qui te traverse les côtés. Tu as l'impression que l'on t'a enfoncé une lame glacée dans les côtes. C'est douloureux, mais tu essayes de faire abstraction. Tu arrives enfin à son niveau. Elle te tourne le dos, ses yeux probablement rivée sur les vagues qui éloignent un gros paquebot. La respiration haletante, tu tentes de reprendre ton souffle. Tu te penches en avant, prenant appuie sur tes genoux pour te maintenir dans cette position. Tu prends de grande bouffée d'air, laissant l'air emplir délicieusement tes poumons. Ta respiration met quelques secondes avant de recouvrer sa régularité. Prudence. Son prénom est à peine murmuré alors que tu viens délicatement prendre son poignet. Elle s'en dégage brutalement, posant ses orbes assassines sur toi. Elle te frappe les épaules, te repoussant contre le sol. Tu ne comprends pas ce que lui prends. les larmes envahissent ton regard azuré. Tu n'oses pas broncher, complètement prise au dépourvu. Ta sœur n'est pas la même lorsque vous êtes seules. Elle devient une personne détestable et méprisable, elle est pleine de rage et de fureur, comme si elle était rongée et dévorée de l'intérieur par une obscure créature. Où était donc passée la grande sœur douce et affectueuse que tu connaissais? Prudence? Emerance? Les voix de vos parents s'élèvent, glissant jusqu'à vous. Le visage de Prudence se métamorphose. Elle devient cette poupée souriante et inoffensive. Elle t'aide à te relever avant de prendre la direction des voix de vos parents qui continues à vous parvenir. Tu es un peu sonnée et bouleversée par ce qu'il vient de se produire. Tu suis ta sœur sans rien dire, tu te cloîtres dans le silence. Prudence se jette dans les bras de votre père. Toi, tu ralenti, à bout de souffle, les joue rosies, tu t'avances doucement d'eux. C'était sans compter sur votre mère. Elle se penche vers toi avec une moue curieuse. Elle t'accueille avec tendresse dans ses bras. Tu te sens en sécurité. Tu fermes les yeux et tu la serres. Fort. Terriblement fort. Que se passe-t-il mon ange? Tu n'as pas le temps d'émettre le moindre son que la réponse vient de Prudence. Elle s'est fait mal en trébuchant. Tu sais comme elle est maladroite. Tu n'oses rien dire. T'es qu'une môme. Tu ne comprends pas.

PENSINE DE GABRIELLE DELACOUR, SA MÈRE

Prudence avait reçu sa lettre pour Poudlard et pour Beauxbâtons quelques semaines auparavant. Elle était inscrite par défaut dans les deux écoles puisqu'elle possédait la double nationalité. Tu avais longuement discuté avec Kevin, pour en conclure que c'était à Poudlard que vous enfants suivraient leurs scolarité. Cela semblait être une évidence, aussi bien pour lui que pour toi. C'est la que vous vous étiez rencontré, lors de cette fameuse deuxième tâche. C'était là que Kevin avait suivi son cursus. Aujourd'hui, c'était les enfants de ta sœur qui y étudiaient.  Faire ses débuts dans une école de sorcellerie pouvait être effrayant et déroutant, tu préférais savoir Prudence entre les mains des Weasley plutôt qu'avec des inconnus. Prudence n'était déjà plus une môme, elle avait déjà saisit toutes les subtilités de l'art de la séduction et maniait ses dons de Velane plus qu'elle ne l'aurait dû. Il y avait quelques choses qui t’effrayait chez elle. Tu avais l'impression qu'elle n'était qu'une jolie parade. Tu as l'impression de la perdre. Oh Gaby. S'il te plaît, c'est qu'une môme. Regarde là. En français dans le texte. Vous étiez arrivé à la chaumière aux coquillages quelques heures auparavant. Prudence avait couru rejoindre Louis sur la plage. Ton regard filait jusqu'à elle. Elle irait. Elle avait beau être le, le souvenir de son rire si cristallin et communicatif te parvint. Tu as sans doute raison. C'est juste que... Tu sais, j'ai l'impression de la perdre. Elle aime tellement plaire, j'ai peur qu'elle ne se perde en chemin.Fleur laisse filtrer un rire, déposant la tasse de café devant toi. Elle pose ses avant-bras contre la table et se penche vers toi, malicieuse et joueuse. Gaby. Plaire est dans notre nature. Tu ne te souviens donc pas de comment nous étions? Prue est une môme intelligente. Elle ira bien, puis les Weasley seront avec elle. Fleur a entièrement raison. Tu laisses échapper un sourire, une moue boudeuse s'emparant de tes traits. Tu venais tourner dans ton café. Fleur laisse échapper un nouveau rire, elle contourne le contour et pose un baiser sur le haut de ton crâne. C'est normal que ça te fasse peur. J'étais pétrifiée quand Victoire est entrée à Poudlard. Ta petite princesse n'est plus si petite. Puis elle aura son grand frère pour veiller sur elle.  Oui, elle n'était plus si petite, tu l'avais bel et bien remarqué. C'était devenu un joli petit bout de femme. Mais Fleur avait raison, Prue était intelligente, elle était douce, agréable et avenante. Tu devais arrêter de te tracasser pour elle. Cela ne changerait rien. Elle ferrait des erreurs et elle se relèverait. Tu ne pourrais pas toujours être derrière elle.

PENSINE DU CHOIXPEAU

Prudence Whitby. Ses grands yeux bleus s'extirpent à la contemplation du plafond magique pour venir s'écrase sur le vieux Choixpeau. L'espace d'un instant, tu crois apercevoir une lueur de dégoût animé ses orbes azurées, mais déjà un sourire doux et tendre se glisse sur ses lèvres fines. Elle se détache du groupe, gravi les marches et se pose sur le tabouret, croisant sagement ses mains sur ses genoux. Le professeur chargé des répartitions te pose délicatement sur sa chevelure. La réalité s'éveille et la couche de caramel et de miel s’effrite, te dévoilant le véritable visage de cette petite poupée. Son âme est sombre, intéressée, cruelle et vaniteuse. Elle relève ses yeux vers le sommet de son crane, là où tu trône encore, immobile et silencieux. Les apparences ne sont pas ce qu'elle paraisse. Tu lui souffles au creux de l'oreille. Elle ne bronche pas. C'est pour cela que cela s'appelle une apparence. Quelle impertinente. Et pourtant, il y a quelques choses en elle qui te subjugue, qui t'attire et t'émerveille. Tu es probablement le seul à découvrir les facettes de ce diamant brut. Un lien éveille particulièrement ta curiosité. Un lien tisser délicatement, un lien précieux qui l'unis à son père. Tu ne t'attendais pas à trouver amour et loyauté dans ce petit corps détestable. Je vois beaucoup de qualité qui serait appréciée dans les maisons des Serpentard... Tu as à peine prononcé le nom de cet maison que tu ressens son aversion pour cette maison. Non. Serpentard n'est pas ce que tu veux pour elle. Mais il y a ce petit quelques choses chez toi... Hm POUFSOUFFLE. Tu n'envoies pas les nouveaux élèves dans des maisons qu'ils craignent. Non, tu lis en eux, tu sais tout le potentiel qu'ils ont enfoui en eux. Cet môme a dû potentiel,  autant pour les Poufsouffles que pour les Serpentards. Elle semble ravie de sa répartition, comme l'était son père, son frère et les autres Whitby lorsqu'ils ont rejoins les rang des jaunes et blanc. Elle se laisse glisser en bas du tabouret et rejoint la table de sa nouvelle maison. Elle semble flotter sur le carrelage. Intriguant petit bout de femme, tu es persuadée que l'on a pas finit d'entendre parler d'elle.

PENSINE D'EMERANCE WITHBY, SA PETITE SOEUR

Tu as été séparé de ta sœur un an. Un an seulement et pourtant, tout te semble déjà différent. Elle est toujours la même, mais différente. Tu ne te l'expliques pas. Tu ne supportes pas être considéré comme son ombre. Aux yeux des autres étudiants, tu n'es rien de plus que sa petite sœur, tu n'es qu'un modèle réduit de la belle et incroyable Prudence. Bien évidemment qu'elle est belle. Belle à s'en damner. La comparaison te flatte, mais tu es plus que ça et tu aimerais que les autres élèves en prennent conscience. Tu prends t'installes au côté de ton frère aîné, la mine renfrogné alors que ton regard se glisse vers cette sœur que tu ne connais plus. Andreas suit ton regard. Il laisse échapper un soupire et fout la pagaille dans ta tignasse. Plume, tu ne peux pas lui en vouloir de grandir. Dis comme ça, tu te sens vraiment minable. Peut-être qu'Andreas a raison, peut-être que tu regrettes seulement le temps où vous étiez en France. Tu ne la lâche pas du regard. Son rire s'éclate à nouveau dans la grande salle alors que les doigts d'un jeune homme effleure ses flans. Elle se relève pour échapper à ses griffes, mais il lui saisit délicatement la main pour la ramener sur le banc. Reste près de moi, Mona. S'il te plait. Mona, pour mon amour. Il l'a toujours appelé ainsi. Il a cette façon de le regarder. Tu pourrais crever pour qu'un jour on te regarde de cette façon. Mais Prudence, rien ne semble l'émouvoir. C'est à croire qu'elle ne s'émerveille plus de rien. Pauvre petite fille trop heureuse. Andreas te bouscule doucement. Tu ne bronches pas. Elle a beau grandir, tu n'aimes pas la femme qu'elle est en train de devenir. Tu sais lire entre les lignes. Tu n'es pas dupes, tu sais que derrière ses sourires se cachent une magnifique garce qui bouillonne, une magnifique garce créée dans la violence et la frustration, une magnifique garce qui se veut être le centre de l'attention, une magnifique garce qui se planque derrière des artifices. T'es la seule à le voir? Elle est pourrie de l'intérieur. Jolie Prudence. Elle serait capable de tout.

PENSINE DE SILOE CRIVEY, SA MEILLEURE AMIE

Toi et ta bande d'amis, vous vous retrouvez dans le Sud de la France pour fêter votre réussite. Une idée de Prudence qui était bien évidemment sortie avec la moyenne la plus haute de la promotion. C'est sans doute en vue de ces résultats exceptionnels que les parents de Prudence lui avait cédé leur maison de Biarritz pour la semaine. Cette fille était détestable tant elle était parfaite. Elle était belle à en crever et intelligente en plus de cela. Puis elle était appréciée, douce, timide tout en étant populaire. Elle dégageait ce petit quelques choses qui donnait envie à n'importe qui d'être en sa présence. Elle était électrisante. Elle semblait sublimer tout ceux qui se trouvait en sa présence. Cela faisait quelques jours que Vous étiez diplômés et le monde vous accueillait les bras ouvert. Vous aviez l'impression que rien ne pouvait vous arriver. Tu étais couverte d'un drap de plage, n'osant pas affiché ton corps informe alors que la sublime Prudence s'exhibait en bikini du soir au matin. Tu ne voulais pas prendre le risque que l'on te compare à cette beauté brute. Tu t'enfonces un peu plus contre ton siège, une légère moue boudeuse. Le rire de Prudence s'élève et éclate dans l'air. Si seulement tu étais ne serait-ce qu'à moitié aussi belle qu'elle, tu en profiterais... Mais pas elle. Tu ne l'avais jamais vue en compagnie d'un garçon. Oh, elle avait beaucoup de prétendant, ils gravitaient autour d'elle, comme les abeilles le feraient autour de leur reine, mais elle demeurait insensible aux charmes de ses séducteurs. Prudence était bien trop calme et posée. Evidemment, tu étais loin de la vérité. La belle Prudence était d'une beauté venimeuse et s'il lui arrivait de s'abandonner, elle avait déjà appris à maîtriser le sortilège oubliette. Elle demeurait cette vierge effarouchée dont nulle ne se méfie. Elle gravit les quelques marche qui la sépare de toi et se laissait tomber gracieusement à tes côté. D'autres filles auraient probablement paru échouée mollement, mais pas Prudence. Elle laisse son rire mourir, reprenant sa respiration. Elle tourne son regard azure vers toi. Tu veux vraiment pas venir te baigner? Tu soupires et hoche vivement la frimousse à la négative. Elle roule des yeux, reportant son regard sur la mer méditerranée. Elle ne te force pas et garde le silence. Vous êtes bientôt rejoint par Tomas Fitch. Il te semble perdu, le regard dans le vague, il semble un peu perdu. Tu ignores alors qu'il est l'une des victimes de ta chère prudence. Elle ne le regarde même pas, elle pose sa tête contre ton épaule. Qu'est-ce qu'on est bien. Si seulement cela pouvait toujours en être ainsi.

PENSINE DE PRUDENCE WITHBY

LOUIS. Ne leur dis pas je t'en supplie. Tu lui saisis le poignet et l'enferme entre tes deux mains. S'il veut vraiment se défaire de ton étreinte, il n'aura aucune difficulté a y parvenir, tu n'as pas sa force. Non, mais tu as ce regard de biche, ce regard auquel on ne peut décemment rien refuser. Il laisse échapper un soupire. Il ne te regarde pas. Prue, je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu fais. Tu nous mets tous en danger. Tu te hisses sur la pointe des pieds pour prendre sa tête entre tes mains, tu l'obliges ainsi à affronter ton regard. Tu plonges ton regard dans le sien. Louis, tu me connais, non? Tu sais que je ne vous mettrais pas en danger. Tu redeviens tendre et douce. Tu as besoin qu'il te croit, qu'il ait confiance en toi. Tu ne peux pas te permettre qu'il aille te balancer aux autres. Non, ils ne comprendraient pas. Tu serais considéré comme une traître. L'ordre est bien plus que le combat pour une cause, c'est également le combat d'une famille... Ta famille. Ils ne doivent pas savoir. Ils ne peuvent pas savoir. Merlin seul sait ce qui t'arriverait si tes trahisons à répétition viendrait à s'apprendre. Tu prends soin de ne laisser aucune trace de tes pêchés. Oui, mais là, il s'agit de Louis. Tu ne veux pas en arriver là. Mais tu n'auras peut-être pas le choix. Tu n'aurais qu'à saisir ta baguette et à trafiquer ses souvenirs. Tu l'as fait tellement souvent. Tu préférerais tout de même parvenir à le raisonner, à l'adoucir. Tu me connais Louis, tu sais que je ne le ferrais pas si je n'avais pas de bonnes raisons. Avais-tu de bonnes raisons? Hm. Tu en avais toujours. Si tu n'en avais pas, tu gardais l'information. Tu ne vendais pas pour vendre, tu vendais pour obtenir une compensation personnelle. Tu ne vendais pas des informations qui pouvaient compromettre les tiens. Tu avais beau être égoïste et ne penser qu'à toi, tu ne voulais pas qu'il leur arrive quelques choses. C'était plutôt simple à comprendre. Prue... Je... Tu ne vas rien dire. Tu ne peux rien dire. Ne m'obliges pas à utiliser ce sortilège sur toi. Tu esquive un sourire, glaciale, avant de relâché son visage. Tu hausses simplement les épaules. Tu le ferrais. Il le sait pertinemment.

PENSINE DE PRUDENCE WITHBY

Sa main se plaque contre ta bouche, étouffant ton cri de stupeur. T'es prise au piège dans cette ruelle sordide. T'es chez les moldus, mais ça ne t'empêchera d'utiliser la magie pour le mettre or d'état de nuire. Tu sens la poigne de sa main étreindre fiévreusement ta hanche. C'est le que tu comprends à qui tu as affaire. Tu reconnais sa force, tu reconnais le souffle chaud qui file contre ta peau dénudée. Il te tient fermement contre lui, ton corps reposant contre son corps musclé. T'en as le souffle coupé. l'excitation et le désir s'empare de ton être alors qu'il te repousse contre le mur et t'obliges à te retourner. Un sourire carnassier s'misse sur tes traits. L'innocence et la douceur s'évapore. Tes doigts se referme ardemment sur le tissus qui recouvre ton torse. Tu l'attires vers toi, sans ménagement. Tes lèvres viennent chercher les siennes avec une gourmandise que tu ne prends même pas la peine de dissimulé. Il presse son corps contre le tient, parcours ton corps avec ses mains. Tu te dérobes au contact de ses doigts. Ses lèvres se glissent dans ta nuque, la marquant de baiser brûlant. Tu inverses la tendance, tu le repousses contre le mur, les mains contre son torse. Il glisse ses mains sur tes fesses, il te soulève, te repoussant à nouveau contre le mur. Ton dos heurte violemment la paroi. Il te prend au piège, ce qui n'est pas pour te déplaire. Tu enroules ses jambes autour de son corps musclé, revenant à ses lèvres, avidement. Tu adores ce qu'il te fait ressentir, tu adores ce qu'il fait de toi, plus encore, tu adores la femme que tu deviens entre ses mains expertes. Tu peux laisser tomber ce masque ce pureté, il s'en balance, il sait ce que tu es, il sait ce que tu vaux. Cette violence, cette agressivité et cette perversité, c'est tout ce que vous êtes. C'est à croire que vous étiez fait pour vous rencontrer. Tu fermes les yeux, tu hurles de plaisir, tu t'abandonnes complètement à lui. Tu t'en fous qu'on vous surprenne, il te suffirait d'un coup de baguette pour effacer les traces de votre présence.